Sujet aux intolérances alimentaires ?

L’incompatibilité alimentaire, en revanche, fait généralement référence à une réaction indésirable spécifique, qui peut être due à une allergie ou une intolérance. Voici quelques points clés :

• Allergies alimentaires : Il s’agit de réactions du système immunitaire à certains aliments, qui peuvent provoquer des symptômes allant de légers (démangeaisons, éruptions cutanées) à graves (choc anaphylactique). Les allergènes courants incluent les arachides, les noix, les fruits de mer, le lait, les œufs et le blé.
• Intolérances : Contrairement à une allergie, une intolérance alimentaire ne provoque pas de réaction immunitaire. Cela peut entraîner des symptômes gastro-intestinaux, comme des ballonnements, des douleurs abdominales ou des diarrhées, mais ces réactions ne mettent pas la vie en danger.

Chaque personne est le résultat d’une combinaison unique d’éléments hérités de ses ancêtres, y compris des aspects génétiques tels que le système HLA, qui joue un rôle crucial dans le fonctionnement du système immunitaire.

La transmission de la flore intestinale de la mère à l’enfant lors de l’accouchement souligne également l’importance du microbiote dans le développement de la santé de l’individu. Ce microbiote, qui varie d’une personne à l’autre, a un impact significatif sur la digestion, le métabolisme, et même le système immunitaire.

De plus, le contexte culturel et les expériences de vie des parents et des ancêtres, y compris la nutrition et les stress psychologiques, influencent la façon dont les générations futures naviguent à travers leurs propres défis. Cela souligne l’idée que nous ne sommes pas seulement le produit de notre ADN, mais aussi le reflet de notre histoire, de notre environnement et des choix faits par ceux qui nous ont précédés.

Ainsi, chaque individu est effectivement unique, tant sur le plan biologique que sur le plan psychosocial, ce qui rend chaque parcours de vie différent et riche en possibilités de développement et d’épanouissement. C’est un bel hommage à la complexité de la vie humaine et à l’interconnexion entre l’hérédité, l’environnement et le comportement.

L’approche IgG et les intolérances alimentaires soulèvent des préoccupations importantes quant à l’impact de l’alimentation moderne sur la santé. En effet, l’idée que certains aliments peuvent provoquer des réponses immunitaires se renforce dans de nombreux cercles médicaux et nutritionnels. Les tests IgG alimentaires, qui mesurent les niveaux d’anticorps IgG en réponse à divers aliments, sont souvent utilisés pour identifier les intolérances alimentaires potentielles.

Les réactions liées à la consommation de certains aliments, comme indiqué, peuvent se manifester non seulement par des symptômes digestifs, mais aussi par des manifestations neurologiques et immunitaires. Le lien suggéré entre l’explosion des maladies chroniques et l’alimentation moderne pose des questions sur la manière dont notre régime alimentaire a évolué et comment les aliments que nous consommons affectent notre santé globale.

Il est crucial de reconnaître que les transformations alimentaires au cours des dernières décennies ont été dramatiques. L’industrialisation de la production alimentaire, l’utilisation massive d’additifs, de pesticides, d’OGM et d’autres produits chimiques ont modifié les caractéristiques nutritionnelles des aliments. Les aliments, tels que le blé, le soja, les produits laitiers et le sucre, qui sont largement consommés dans le cadre de l’alimentation moderne, sont souvent cités comme problématiques en raison de leur potentiel à provoquer des intolérances ou des réactions indésirables chez certaines personnes.

Cependant, il est important de noter que la réaction à ces aliments peut varier d’une personne à l’autre. Les tests immunologiques, tels que ceux mesurant les anticorps IgG, doivent être interprétés avec prudence .Il est conseillé de consulter un professionnel de la santé avant de modifier son régime alimentaire sur la base de tels résultats. Ce dernier pourra aider à distinguer entre les vraies intolérances alimentaires, les allergies et les problèmes nutritionnels plus larges.

Par ailleurs, un réexamen des habitudes alimentaires pourrait s’avérer bénéfique. Favoriser une alimentation riche en aliments non transformés, en fruits, légumes, viandes de qualité, céréales complètes et graisses saines est souvent recommandé pour améliorer la santé globale. En fin de compte, il s’agit de trouver un équilibre qui coïncide avec les besoins individuels et de s’assurer que l’alimentation apporte à l’organisme les nutriments essentiels à son fonctionnement optimal.

Être en bonne santé est un concept complexe qui va au-delà de l’absence de maladie. Il englobe un état de bien-être physique, mental et émotionnel. La santé est influencée par de nombreux facteurs, dont certains sont externes – comme les infections (virus, bactéries) et les agents environnementaux (pollution, ondes électromagnétiques) – et d’autres sont internes, tels que le stress, les émotions et les intolérances alimentaires.

Les intolérances alimentaires, souvent confondues avec les allergies, peuvent avoir des effets délétères sur la santé. Contrairement aux allergies, qui déclenchent une réaction immédiate et identifiable, les intolérances se manifestent généralement par des symptômes plus insidieux et variés, allant de problèmes digestifs (ballonnements, diarrhée) à des troubles émotionnels (fatigue, dépression). Ces réactions peuvent être révélatrices d’une inflammation chronique et d’une perméabilité intestinale accrue, entraînant des effets néfastes sur différentes fonctions corporelles, comme le système respiratoire, cardiovasculaire ou dermatologique.

Il est également essentiel de considérer les discordances alimentaires, où des aliments souvent considérés comme bénéfiques peuvent nuire à la santé, en créant des carences ou des déséquilibres dans l’organisme. Par exemple, certaines vitamines ou des additifs alimentaires peuvent avoir des effets indésirables lorsqu’ils sont mal métabolisés.

Le développement des intolérances alimentaires dans notre société moderne pourrait être attribué à divers facteurs, tels que la pollution environnementale et le stress, qui affaiblissent notre corps et réduisent sa capacité à s’adapter aux divers aliments. Ces intolérances peuvent se déclarer à des moments clés de la vie, tels qu’une transition hormonale ou un bouleversement émotionnel, marquant ainsi l’importance d’une approche holistique de la santé.

Ainsi, être en bonne santé nécessite une écoute attentive de son corps, un équilibre alimentaire adapté, et une considération des divers facteurs environnementaux et émotionnels. La prise de conscience des intolérances alimentaires et de leur impact potentiel sur notre bien-être est un pas crucial vers une santé optimale.

La Méthode JMV® : la séance

Toute la séance se déroule sur un plan psycho-énergétique, elle est complémentaire de la médecine officielle.

Les mouvements oculaires combinés à des fréquences magnétiques naturelles (aucun appareil utilisant des fréquences électroniques)  vont éliminer les blocages dus aux intolérances et inciter l’organisme à fixer vitamines et minéraux.

Les mouvements oculaires, totalement différents de l’EMDR, vont agir sur un plan physique mais aussi émotionnel.

La stimulation de certains points va renforcer les organes comme le fait l’acupuncture pour vaincre définitivement les perturbations et intolérances.

De nouvelles informations et fréquences vont permettre au cerveau de trouver le chemin de la guérison.

Dans un premier temps, nous allons chercher l’origine de vos problèmes: émotionnel, structurel, physiologique, alimentaires…. nous allons détecter et déprogrammer vos intolérances alimentaires: gluten, lactose, levures, solanine, amidon…. pour que vos organes puissent fonctionner correctement sans être affaiblis par ces substances.

Nous allons vérifier votre équilibre acido-basique, tester une éventuelle intoxication aux métaux lourds.

Ensuite nous allons vérifier que vous fixez énergétiquement chaque vitamines et minéraux… que vous n’avez pas de perturbation énergétiques aux ondes wifi, aux parasites, virus ou bactéries, candidats albicans…, blocages dus aux vaccins, anesthésies….
Ainsi, en supprimant les blocages énergético-physiologiques l’organisme devient capable de s’autoguérir. Nous pourrons ensuite travailler sur le plan émotionnel, si nécessaire, en étant beaucoup plus efficace. Le corps étant le temple de l’esprit il faut  commencer par le physiologique.

Une méthode complémentaire à la médecine 

Demandez l’avis de votre médecin, en ayant un suivi régulier avec celui-ci, afin d’adapter votre traitement si nécessaire.
Exemple: généralement la plupart des migraineux n’ont plus, ou pratiquement plus de migraines, il est donc nécessaire de voir votre médecin pour adapter ou supprimer votre traitement. Les dépressifs, boulimiques ont une amélioration rapide mais ne doivent pas arrêter, ni diminuer leur traitement sans que ce soit sur décision de leur médecin….